The writer’s book The Arabic Novel: Betting on Renewal was our book club selection for December 2014.
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Mohammed Berrada, Moroccan writer and critic, was born in Rabat On May 14, 1938. He holds a PhD degree from France in criticism and literary sociology. He writes short stories, novels and essays, and translates from French. He is considered one of Morocco’s most important modern authors.
From 1976 to 1983, Berrada was the president of Morocco’s writers union. He teaches Arab literature at the faculté des lettres of the Mohammed V University in Rabat. He is a member of the advisory board of the Moroccan literary magazine Prologue.
Berrada belonged to a literary movement that wanted to experiment with new techniques of writing (what Moroccan critics call attajrib (experimentation). The text does not give much weight to the plot and is written in independent scenes, images, thoughts and portraits. In the field of language, dialects take on an important role, such as Fassi (the dialect of Fez) together with wordplay and allusions.
Since 1978, Berrada has been married to Leila Shahid, ambassador of the State of Palestine to the European Union.
Publications:
Al-Daw al-harib (fleeting light) (1993) : The relation between a painter and two women of different generations, the mother and the daughter. Translated into English as Fugitive Light (2002) by Issa J. Boullata.
Dirasat fi al-Qissah al-’Arabiyah : Waqa’i Nadwat Miknas (Beirut : Muʼassasat al-Abḥath al-ʻArabiyah, 1986.)
Le théâtre au Maroc : tradition, expérimentation et perspectives (Presses Universitaires du Septentrion, 1998) .
L’ubat al-Nisyan (The Game of Forgetting – Rabat: Dar al-Aman, 1986.): the story of an intellectual about his life, from his childhood to adulthood in Morocco in the middle of the 20th century. Translated into English as The Game of Forgetting (1996) by Issa J. Boullata.
Like a summer that will not come back (Sinbad, 2001) Memories of the summer of 1956 when the author studied in Cairo.
Imraʼat al-nisyan : riwayah (Casablanca: Nashr al-Fanak, 2001.)
Fadaat Riwaeyah (Rabat: Wizarat al-Thaqafah, 2003.)
Siyaqat Thaqafiyah : Mawaqif, Mudakhalaat, Marafi’(Rabat: Wizarat al-Thaqafah, 2003.)
Mohammed Berrada
Romancier marocain arabophone, considéré comme le chef de file du roman moderne marocain
Né à Rabat en 1938, Mohammed Berrada est romancier, critique littéraire, traducteur ; il enseignait la littérature arabe à la faculté des lettres de l’université Mohammed-V à Rabat. Il a été de 1976 à 1983 président de l’Union des écrivains marocains et est membre du Conseil scientifique de la revue maghrébine du livre Prologue.
Mohammed Berrada a appartenu au courrant littéraire qui a expérimenté de nouvelles techniques d’écriture (que les critiques marocains appellent attajrib (expérimentation). Le texte néglige l’intrigue romanesque et s’écrit par tableaux, scènes, réflexions, portraits… Dans le domaine de la langue c’est le recours aux dialectes, notamment le fassi (celui de Fès), aux jeu de mots et allusion ludiques.
Depuis 1978, Mohammed Berrada est l’époux de Leïla Shahid, déléguée générale de la Palestine auprès de l’Union européenne. Le couple vit et travaille à Bruxelles.
Traducteur de Barthes et Le Clézio en arabe, son œuvre de romancier, saluée par les récompenses les plus prestigieuses du royaume (prix du Mérite culturel 1999, prix de la Critique 2004…), est avant tout celle d’un esprit libre.
Parmi ses publications
Comme un été qui ne reviendra plus (Sindbad, 2001) :
Le souvenir de l’été 1956, quand l’auteur était étudiant au Caire.
Le théâtre au Maroc : tradition, expérimentation et perspectives (Presses Universitaires du Septentrion, 1998) – commande.
Lumière fuyante (1993) :
La relation d’un peintre avec deux femmes de génération différentes, la mère et la fille.
Le jeu de l’oubli (Eddif, 1987; sa traduction chez Acte Sud, 1993) : Le récit d’un intellectuel sur sa vie, de l’enfance à l’âge adulte dans le Maroc du millieu du XXe siècle.